parce que nous nous sommes retrouvé.e.s les un.e.s les autres pendant ces temps sombres et nous ne les craignons pas ; au contraire, en tant qu’anarchistes, nous voyons l’intervalle de temps entre le crépuscule et l’aube comme le moment pour attaquer, pour frapper au cœur les puissants, pour faire en sorte que la peur change de camp.